Cet été nous étions donc en vacances du côté de Narbonne. On a voulu profiter de la proximité avec l'Espagne pour aller à Figueres visiter le musée Dali.

Nous sommes arrivés dans la matinée, détour par un petit parc pour détendre les enfants, près de la place Josep Pla.

Pour leur faire plaisir, nous commencçons par le Museu del joguet de Catalunya, le musée des jouets de Catalogne où nous sommes accueillis par... la Tour Eiffel. En Mécano cela dit...

Le musée est sympa, avec des ateliers jeux pour les enfants qui leur ont beaucoup plu.

Nous avons déjeuné sur la place de l'Ajunament (avec des milliers d'autres français!!), puis petite visite de la ville, en direction du musée Dali.

Bel escalier pour accéder au Musée...

Et nous y voilà! Mais... hé ben nous sommes venus en touristes, n'imaginant pas une seconde que d'autres auraient l'idée de venir le musée. On est en plein mois d'août et nous nous pointons comme des fleurs. Moi qui prend toujours des billets électroniques pour les musées français, là je n'y pas du tout pensé. 2 heures de queue, finalement nous nous contenterons des boutiques...

C'est donc avec un petit goût amer que nous quittons Figueres. Petite pause au Castell de Sant Ferran, les enfants se sont endormis dans la voiture, je sors toute seule faire un tour pour voir si ça vaut la peine que je les réveille.

Je les laisse dormir...

C'est donc un peu dépités que nous reprenons la route.

Pour nous rattraper un peu nous décidons de nous arrêter à Perpignan, que nous ne connaissons pas.

Les enfants ont commencé par se tremper (et vu la chaleur et le temps passé en voiture c'était plutôt bienvenu!)

Ensuite petit tour en centre ville, visite de la Cathédrale. Et pour atténuer ma déception de n'avoir pas vu Dali, j'ai dépensé des sommes insensées à la Fnac!

Et voilà, retour à Narbonne après cette drôle de journée, par l'autoroute qui longe la mer. Ca me rappelle lorsque nous partions en vacances à Bormes, et qu'enfin la mer s'offrait à nous, nous l'apercevions depuis l'autoroute par petit bout d'abord, puis enfin entière sur l'horizon, nous étions proches du but, celui des vacances et de l'insouciance!

Viva Dali

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